Dans ce podcast, Jean Bédard nous offre sa sagesse et nous fait goûter à sa puissante force de vie. Il est un homme qui, avec son épouse a fondé la Ferme et Fiducie foncière Sageterre, un lieu de vie où les gens appartiennent à la terre et non l’inverse. Un lieu où les gens se laissent travailler par la terre et par les relations. Un lieu où l’on entre en relation avec le réel; la terre, les animaux, les plantes, les insectes, les marais, les humains, avec l’air, l’eau, la terre; notre Mère.
Il partage sa riche expérience de vie qui l’a amené à toucher-frôler la mort avec un cancer. Il parle avec sérénité et fraîcheur de la mort, élément réel et certain de notre vie à laquelle on préfère souvent ne pas penser. Jean Bédard nous invite à réfléchir à la mort (la peur primal de tout humain) et à dès aujourd’hui “ mûrir sa mort plutôt qu’avorter sa vie”. Il nous invite, dans une époque où les “peurs imaginées” sont servies à profusion par l’état et les médias, à accepter cette grande certitude qu’est la mort et à entrer en relation harmonieuse et humble avec le vivant à tous les jours. Il nous invite à l’humilité devant tous les mystères de la vie et à lâcher nos prétentions à penser “savoir”; à questionner nos certitudes et celles des experts médicaux et scientistes. Et si le bonheur et le salut de l’humanité se trouvait à être en relation avec le réel dans chaque instant et ne pas se laisser contrôler par les peurs imaginaires. Et si pour la suite du monde, on aimait tellement la vie qu’on en perde peur et le besoin de tout contrôler ? Merci M. Bédard pour votre générosité et sagesse.
Merci Colin pour ce nouveau podcast avec M Bédard, ses réflexions sur la peur, la mort comme la vie et la nature amène a se replonger sur ses propres peurs et la peur ultime la mort. La peur, très à la mode maintenant avec la covid pour nous gouverner a l'aide des médiats. Cette peur, elle très est omniprésente depuis 2 ans, c'est rendu un mode de gestion pour exercer un contrôle sur la population. Triste d'en être là, c'est loin d'une gouvernance empathique en exercant un leadership positif.
RépondreEffacerLa peur, on la génère souvent nous même et comme en parle M Bédard, il peut être stimulant de confronter nos peurs. Mon rapport a la peur ultime, la mort est plus présente dans ma vie depuis la mort de mes parents, comme toi pour ta mère, mais je suis en paix avec ça. L'âge peut-être, le fort sentiment que je suis prèvilégié d'avoir eu a date une belle vie, avec ses hauts et ses bas qui sont source d'apprentissages, de rencontres avec les autres mais d'abord avec sois et ça c'est une quête sans fin.
Enfin, j'ai aimé entendre son rapport et son amour a la terre, à la nature, elle est là la vie. Pour moi ce n'est pas une question de dominance ou de possession, je ne suis pas assé important sur terre pour prétendre à cela. Je suis une partie de cette nature, une petite partie, pas moins mais pas plus importante non plus. Selon ma compréhension, tout est inter dépendant, l'humain autant que les plantes ou les animaux, détruire l'un revient a détruire les autres, c'est pour cela que nous devons, c'est un devoir de prendre soins et d'aimer cette nature, cette maison qu'est notre planette.
Salutation, François
Merci François pour ce partage de ta sagesse et content que ceci résonne en toi alors que nous sommes à définir les prochains chapitres de l'humanité.
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